Randonnée hivernale du dimanche 20/12/09, prés de Méjannes-le-clap (25 km au nord d'Uzès - gard), malgré le froid hivernal (-4°C à -6°C selon les endroits), nous nous retrouvons à six sous la conduite éclairée de Juju pour une randonnée sur le causse d'Uzès, avec visite d'un mas ancien, initiation spéléologie dans un aven ayant contenu des restes de l'age de bronze et balade au milieu de la végétation typique des causses de la région, chênes verts et blancs, buis, arbousiers...
Notre pérégrination commence par une marche sur de grandes pistes forestières entrecoupées de bandes coupe-feu, en direction de la métairie de Souloumiac.
A notre arrivée au mas, nous constatons que celui-ci est fermé suite à des travaux de rénovations récents, nous ne pourrons donc pas visiter l'intérieur. Dommage ! Nous nous contenterons des extérieurs.
A noter la citerne couverte (très grande), le lavoir, l'inscription sur le porche d'entrée (1630), le cadran solaire (datée 1788) en fonctionnement... Les très belles ouvertures du balcon couvert dans la cour intérieure. Les fenêtres circulaires en façade sud... Un bien bel endroit !
Après la pause exploratoire, nous reprenons le chemin en direction de l'aven du cloporte, lieu ou nous devons effectuer notre plongée initiatique dans le monde de la spéléologie. Après quelques kilomètres de marche, nous arrivons sur place. Nous trouvons l'entrée ainsi qu'une cheminée secondaire située à une dizaine de mètres au sud-ouest du puits principal.
C'est l'heure de la pause déjeuner. Après avoir partagé nos vivres, Juju équipe l'aven et nous explique les différentes techniques (mise en place du baudrier, rappel, assurance...). Et nous voilà partis pour la descente... Petit rappel de quelques mètres, arrivée dans une salle encombrée de nombreux cailloux en partie basse, cheminée et dé-escalade pour arriver dans la salle principale. Magnifique !
Le plafond est constellé de stalactites de différentes tailles (spaghettis...), d'après Juju la salle est dans un état exceptionnel de conservation, c'est vrai que c'est beau ! Nous pouvons aussi observer quelques stalagmites. Deux couloirs, un en contrebas permet d'accéder à une salle plus vaste et très haute, mais moins belle, un latéral conduit à un autre puits qui après un rappel d'une dizaine de mètres arrive au fond de l'aven, le manque de temps nous empêche d'explorer cette partie. Nous observons quelques chauve-souris en hibernation, toutes recouvertes de gouttes de rosées qui luisent dans nos lumières, jolies petites bêtes ! Nous faisons bien attention de ne pas réveiller les endormies...
Bien, il est temps de remonter à la surface, remontée un peu plus sportive sur échelle métallique.
Super expérience ! Merci Juju !
Après le déséquipement nous reprenons notre marche sur les pistes du causse en direction d'un grand chêne vert repéré sur la carte. Joli spécimen.
Puis nos pas nous conduisent prés de l'aven jeanine, dont nous parvenons, après recherches, à trouver un des puits d'entrée. Peut-être un objectif pour une future exploration ?
La journée tire à sa fin, nous regagnons les voitures ou nous partageons le dernier café et les restes des pâtisseries, sympa !
Au revoir tout le monde et à bientôt !
Ps : lien pour plus de précisions sur les découvertes effectuées dans l'aven du cloporte (merci encore Juju).
21 décembre 2009
18 décembre 2009
musiques du jour
Daho - Singles - 1998
Tombés pour Daho - 2008
J.S. BACH : 6 Suiten fur violoncello sollo - Pierre Fournier - 1961
MENDELSSOHN.BRUSH : Concertos pour violon - Anne-sophie MUTTER - Berliner Philharmoniker - Herbert Von Karajan - 1981
Jil Caplan - Avant qu'il ne soit trop tard - 1993
Pearl Jam - Yield - 1998
20 novembre 2009
lectures de novembre 2009
- Un coin potager bio : débuter simplement / Fanny Dupré ; photographies Raphaël Bance - editions Ulmer 2007
- Entretien écologique du bois / Peter Weissenfeld, Holger König ; trad. de l'allemand Denis Griesmar - Editions La plage (sète) 2008 - ISBN 978-2-84221-178-3
- Charpentes : le bois, les assemblages, les charpentes en bois, les lucarnes et les fenêtres de toit, les planchers en bois, les escaliers en bois, les maisons à ossature bois - Editions Alternatives - 2003
- La cuisine japonaise/ / Emi Kazuko ; recettes de Yasuko Fukuoka ; traduit de l'anglais par J.-F. et J.-L. Verhoye-Millet - Editions Manise/La martinière - 2002 - ISBN 2-84198-183-5
- Techniques et pratique de la chaux / Ecole d'Avignon - 2ème éditions - Ecole d'Avignon - Editions Eyrolles - 2003 - ISBN 2-212-11265-3
- Entretien écologique du bois / Peter Weissenfeld, Holger König ; trad. de l'allemand Denis Griesmar - Editions La plage (sète) 2008 - ISBN 978-2-84221-178-3
- Charpentes : le bois, les assemblages, les charpentes en bois, les lucarnes et les fenêtres de toit, les planchers en bois, les escaliers en bois, les maisons à ossature bois - Editions Alternatives - 2003
- La cuisine japonaise/ / Emi Kazuko ; recettes de Yasuko Fukuoka ; traduit de l'anglais par J.-F. et J.-L. Verhoye-Millet - Editions Manise/La martinière - 2002 - ISBN 2-84198-183-5
- Techniques et pratique de la chaux / Ecole d'Avignon - 2ème éditions - Ecole d'Avignon - Editions Eyrolles - 2003 - ISBN 2-212-11265-3
28 octobre 2009
bibliographie d'octobre 2009
La maison des [néga]watts - Thierry Salomon et Stéphane Bedel - Editions Terre Vivante - 2004 - ISBN 2-904082-77-8
L'énergie solaire et photovoltaïque pour le particulier - Emmanuel Riolet - Editions Eyrolles - 2008 - ISBN 978-2-212-12221-3
L'isolation écologique - Jean-Pierre Oliva - Editions Terre Vivante - 2006 - ISBN 2-904082-90-5 - ISBN13:978-2-904082-900
Construire son habitation en paille selon la technique du GREB - V. Brossamain et JB Thévard - 2ème édition - Editions V. Brossamain - 2006 - ISBN 2-952515
Techniques et pratique de la chaux - Ecole d'Avignon - 2ème édition - Editions Eyrolles - 2003 - ISBN 2-212-11265-3
L'énergie solaire et photovoltaïque pour le particulier - Emmanuel Riolet - Editions Eyrolles - 2008 - ISBN 978-2-212-12221-3
L'isolation écologique - Jean-Pierre Oliva - Editions Terre Vivante - 2006 - ISBN 2-904082-90-5 - ISBN13:978-2-904082-900
Construire son habitation en paille selon la technique du GREB - V. Brossamain et JB Thévard - 2ème édition - Editions V. Brossamain - 2006 - ISBN 2-952515
Techniques et pratique de la chaux - Ecole d'Avignon - 2ème édition - Editions Eyrolles - 2003 - ISBN 2-212-11265-3
07 octobre 2009
Musiques du jour... et de la nuit !
DANI - Tout dépend du contexte - 2003
THIEFAINE - Autorisation de délirer - 1979
BASHUNG - Chatterton - 1994
THIEFAINE - Autorisation de délirer - 1979
BASHUNG - Chatterton - 1994
04 octobre 2009
Corps et armes II
Le brasier dans Corps et armes - Etienne DAHO - 2000
Ces instants fragiles sont emplis d'espoir
Même si j'ai été la cible et la proie
De mille aiguilles de cent coups bas
Qui m'éloignent trop de moi
La perfection pure n'a souvent pas de prix
La rechercher me détruit
Puis je reviens à la vie
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s'éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme !
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu'au bout
C'est irrépressible, l'espoir
S'accrocher à des détails, l'espoir
Si la vie se charge de me refaire tomber
Sans personne à mes côtés
Si à nouveau la solitude me déprave
Tu sais même les épaves
Sont de la trempe des braves
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s'éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme !
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu'au bout
Ces instants fragiles sont emplis d'espoir
Même si j'ai été la cible et la proie
De mille aiguilles de cent coups bas
Qui m'éloignent trop de moi
La perfection pure n'a souvent pas de prix
La rechercher me détruit
Puis je reviens à la vie
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s'éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme !
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu'au bout
C'est irrépressible, l'espoir
S'accrocher à des détails, l'espoir
Si la vie se charge de me refaire tomber
Sans personne à mes côtés
Si à nouveau la solitude me déprave
Tu sais même les épaves
Sont de la trempe des braves
Vois tout au fond de moi
Ce brasier qui ne s'éteint pas
Que vive la flamme, que vive la flamme !
Pour à nouveau prendre feu et brûler jusqu'au bout
03 octobre 2009
Black and blue
Love your laugh,
love your style, love your heart
your soul, your smile.
Love your voice.
Love your touch.
14 septembre 2009
Le choix de Sophie - Alan J. PAKULA - 1982
Les tendances de l'Homme à s'autodétruire, individuellement et collectivement, ainsi qu'à détruire son propre environnement, semblent être profondément inscrites dans son mode de fonctionnement et d'évolution.
Comment expliquer cela ? Un manque de raisonnement ? un manque de sagesse ? Un oubli de conscience ?
Comprendre ces tendances nous ferait grandir ...
Comment expliquer cela ? Un manque de raisonnement ? un manque de sagesse ? Un oubli de conscience ?
Comprendre ces tendances nous ferait grandir ...
04 septembre 2009
Supporter et Auvergnat
Etre supporter et Auvergnat
C’est une identité née de racines profondément ancrées,
Au fond des lacs et des cratères,
Aux flancs des montagnes, au cœur des forets,
Et qui viennent patiemment au jour de cette rude terre
C’est savoir la rigueur d’un climat
Où l’été, bêtes et hommes courbent l’échine
Préparant sans se plaindre un hiver long et froid
Que seules les flammes du Cantou illuminent
C’est connaître l’âpreté d’un buron,
L’odeur du lait caillé et de la présure,
Si précieuse et si fragile fermentation,
Que seul un ancestral savoir mesure,
C’est voir toutes ces portes pudiquement ouvertes
Discrètement et en toute simplicité,
A celui qui bien souvent en pure perte
Ailleurs est allé chercher un peu de chaleur et de générosité
C’est respecter les mains noueuses des anciens,
Leurs visages façonnés et burinés par les heures de pénible labeur,
Leur opiniâtreté, leur souffrance et leur vie de chien,
Images muettes devant la grandeur de leur noble cœur
C’est toutes ces heures, tout ce passé
Qui font aujourd’hui notre fierté
Tout ce courage, cette digne ténacité
A jamais à nos talons et à notre cœur accrochés.
Bien sûr les temps ont changé,
Le modernisme est arrivé,
Glissant, impuissant à modifier
Ce qui fait nos caractères bien trempés.
De nos ancêtres nous avons hérité
La vaillance et la patience,
La persévérance, l’humilité
Le respect et la confiance
Et quelque soit l’objectif désigné
Tout ce qui porte nos couleurs
Sans faille nous soutiendrons et ferons respecter
Jusqu’à la récolte du bonheur
Jamais renier, jamais cracher,
Simplement aimer et pardonner
Soutenir, aider et exiger
Au nom de ceux qui nous ont faits
Voilà pour moi c’est ça,
Un supporter Auvergnat
Aimé - Supporter, Auvergnat et poête - juin 2009
C’est une identité née de racines profondément ancrées,
Au fond des lacs et des cratères,
Aux flancs des montagnes, au cœur des forets,
Et qui viennent patiemment au jour de cette rude terre
C’est savoir la rigueur d’un climat
Où l’été, bêtes et hommes courbent l’échine
Préparant sans se plaindre un hiver long et froid
Que seules les flammes du Cantou illuminent
C’est connaître l’âpreté d’un buron,
L’odeur du lait caillé et de la présure,
Si précieuse et si fragile fermentation,
Que seul un ancestral savoir mesure,
C’est voir toutes ces portes pudiquement ouvertes
Discrètement et en toute simplicité,
A celui qui bien souvent en pure perte
Ailleurs est allé chercher un peu de chaleur et de générosité
C’est respecter les mains noueuses des anciens,
Leurs visages façonnés et burinés par les heures de pénible labeur,
Leur opiniâtreté, leur souffrance et leur vie de chien,
Images muettes devant la grandeur de leur noble cœur
C’est toutes ces heures, tout ce passé
Qui font aujourd’hui notre fierté
Tout ce courage, cette digne ténacité
A jamais à nos talons et à notre cœur accrochés.
Bien sûr les temps ont changé,
Le modernisme est arrivé,
Glissant, impuissant à modifier
Ce qui fait nos caractères bien trempés.
De nos ancêtres nous avons hérité
La vaillance et la patience,
La persévérance, l’humilité
Le respect et la confiance
Et quelque soit l’objectif désigné
Tout ce qui porte nos couleurs
Sans faille nous soutiendrons et ferons respecter
Jusqu’à la récolte du bonheur
Jamais renier, jamais cracher,
Simplement aimer et pardonner
Soutenir, aider et exiger
Au nom de ceux qui nous ont faits
Voilà pour moi c’est ça,
Un supporter Auvergnat
Aimé - Supporter, Auvergnat et poête - juin 2009
01 septembre 2009
Sur ma mère
"L'argent, c'est rien, c'est la mauvaise poussière de la vie"
Tahar Ben Jelloun - Sur ma mère - Gallimard - 2008
Tahar Ben Jelloun - Sur ma mère - Gallimard - 2008
25 août 2009
Violence
Puisque la violence réapparaît à chaque époque sous de nouvelles formes, il faut en permanence reprendre la lutte contre elle.
Stephen Zweig, Conscience contre violence.
29 juillet 2009
The reader
Les lois sont-elles plus importantes que les émotions, les sentiments, les valeurs morales ?
11 juillet 2009
Patagonie express
je viens de finir Patagonie express (Paul Theroux - Les Cahiers rouges/GRASSET - traduction Alexandre KALDA - 1988), un récit de voyage étonnant, très bien écrit, dans un style particulier. Un beau dépaysement.
Semis D039-A (Cascade Springs x Fogbound)
Semis D039-A (Cascade Springs x Fogbound)
04 juillet 2009
02 juillet 2009
Thierry GAUTIER trio
Hier soir Thierry GAUTIER trio, jazz, jazz, jazz... sympa ! place St-Ane à Montpellier.
Thierry Gautier au piano, Alain Dumont à la contrebasse, Pierre-Olivier Biton à la batterie.
Thierry Gautier au piano, Alain Dumont à la contrebasse, Pierre-Olivier Biton à la batterie.
29 juin 2009
CIA
Compagnie Internationale Alligator - 28/06/09
Au fond du trou, les comédiens sont alignés de part et d'autre du trajet de sortie du public et distribuent des tracts avec le texte suivant :
LE MENSONGE, LA BETISE ET LA HAINE ONT ETE LES PERSONNAGES PRINCIPAUX DE CETTE PIECE. CHAQUE SPECTATEUR EST UN PERSONNAGE PRINCIPAL.
NE SORTEZ PAS DANS LA RUE. VOUS RISQUEZ D'ETRE SIFFLE.
Indication supplémentaire : il est préférable que la corde continue son déroulement pendant la sortie du public. Le mécanisme de son mouvement pourra être contemplé par ceux qui le veulent. Les oiseaux et la chatte seront abandonnés à leur sort.
FIN
Au fond du trou, les comédiens sont alignés de part et d'autre du trajet de sortie du public et distribuent des tracts avec le texte suivant :
LE MENSONGE, LA BETISE ET LA HAINE ONT ETE LES PERSONNAGES PRINCIPAUX DE CETTE PIECE. CHAQUE SPECTATEUR EST UN PERSONNAGE PRINCIPAL.
NE SORTEZ PAS DANS LA RUE. VOUS RISQUEZ D'ETRE SIFFLE.
Indication supplémentaire : il est préférable que la corde continue son déroulement pendant la sortie du public. Le mécanisme de son mouvement pourra être contemplé par ceux qui le veulent. Les oiseaux et la chatte seront abandonnés à leur sort.
FIN
26 juin 2009
Corps et Armes I
J'ai déjà écrit quelque part (ou bien l'ai-je simplement dit ?) que TOUT était dans cet album d'Etienne DAHO, Corps et Armes, au moins en ce qui concerne les relations amoureuses, alors ce n'est que l'opus I.
A lire, à écouter, à méditer.
De plus, de saison !
Ouverture dans Corps et Armes - Etienne DAHO - 2000
Il n'est pas de hasard,
Il est des rendez-vous,
Pas de coïncidence,
Allez vers son destin,
L'amour au creux des mains,
La démarche paisible,
Porter au fond de soi,
L'intuition qui flamboie,
L'aventure belle et pure,
Celle qui nous révèle ,
Superbes et enfantins,
Au plus profond de l'âme.
Portée par l'allégresse,
Et la douceur de vivre,
De l'été qui commence,
La rumeur de Paris,
Comme une symphonie,
Comme la mer qui balance.
J'arrive au rendez-vous,
Dans l'épaisse fumée,
Le monde me bouscule,
Réfugié dans un coin,
Et observant de loin,
La foule qui ondule,
Mais le choc imminent,
Sublime et aveuglant,
Sans prévenir arrive.
Je m'avance et je vois,
Que tu viens comme moi,
D'une planète invisible,
Où la pudeur du cœur,
impose le respect,
La confiance sereine
Et plus tu t'ouvres à moi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement je m'ouvre,
Et plus je m'ouvre à toi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement tu t'ouvres.
il fut long le chemin,
Et les pièges nombreux,
Avant que l'on se trouve,
Il fut long le chemin,
Les mirages nombreux,
Avant que l'on se trouve.
Ce n'est pas le hasard,
C'est notre rendez-vous,
Pas une coïncidence.
A lire, à écouter, à méditer.
De plus, de saison !
Ouverture dans Corps et Armes - Etienne DAHO - 2000
Il n'est pas de hasard,
Il est des rendez-vous,
Pas de coïncidence,
Allez vers son destin,
L'amour au creux des mains,
La démarche paisible,
Porter au fond de soi,
L'intuition qui flamboie,
L'aventure belle et pure,
Celle qui nous révèle ,
Superbes et enfantins,
Au plus profond de l'âme.
Portée par l'allégresse,
Et la douceur de vivre,
De l'été qui commence,
La rumeur de Paris,
Comme une symphonie,
Comme la mer qui balance.
J'arrive au rendez-vous,
Dans l'épaisse fumée,
Le monde me bouscule,
Réfugié dans un coin,
Et observant de loin,
La foule qui ondule,
Mais le choc imminent,
Sublime et aveuglant,
Sans prévenir arrive.
Je m'avance et je vois,
Que tu viens comme moi,
D'une planète invisible,
Où la pudeur du cœur,
impose le respect,
La confiance sereine
Et plus tu t'ouvres à moi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement je m'ouvre,
Et plus je m'ouvre à toi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement tu t'ouvres.
il fut long le chemin,
Et les pièges nombreux,
Avant que l'on se trouve,
Il fut long le chemin,
Les mirages nombreux,
Avant que l'on se trouve.
Ce n'est pas le hasard,
C'est notre rendez-vous,
Pas une coïncidence.
16 juin 2009
Sur un trapèze
Sur un trapèze dans Bleu pétrole - Alain Bashung - 2008
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
On dirait que, sans les poings, on est toujours aussi balèzes
Et que les fenêtres nous apaisent
On dirait que l'on soufflerait sur les braises
On dirait que les pirates nous assiègent
Et que notre amour, c'est le trésor
On dirait qu'on serait toujours d'accord
J'ai traqué les toujours, désossé les déesses
Goûté aux alentours, souvent changé d'adresse
Ce qui nous entoure, l'extension de nos corps
Quand nous sommes à l'écart, mineurs, chercheurs d'or
Quand faut-il être pour ? Que faut-il être encore ?
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
On dirait que, sans les poings, on est toujours aussi balèzes
Et que les fenêtres nous apaisent
Peut-être que la nuit le monde fait la trêve
Et qu'aujourd'hui ton sourire fait grève
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
On dirait que, sans les poings, on est toujours aussi balèzes
Et que les fenêtres nous apaisent
On dirait que l'on soufflerait sur les braises
On dirait que les pirates nous assiègent
Et que notre amour, c'est le trésor
On dirait qu'on serait toujours d'accord
J'ai traqué les toujours, désossé les déesses
Goûté aux alentours, souvent changé d'adresse
Ce qui nous entoure, l'extension de nos corps
Quand nous sommes à l'écart, mineurs, chercheurs d'or
Quand faut-il être pour ? Que faut-il être encore ?
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
On dirait que, sans les poings, on est toujours aussi balèzes
Et que les fenêtres nous apaisent
Peut-être que la nuit le monde fait la trêve
Et qu'aujourd'hui ton sourire fait grève
On dirait qu'on sait lire sur les lèvres
Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze
19 mai 2009
Et au milieu coule une rivière.
La vis. une rivière magnifique. Sauvage et difficile d'accès. Elle offre à celui venu la contempler, la pêcher, des sensations inoubliables. un goût d'inaccessible...
Elle offre aussi des bijoux parés d'or et de bronze, éphémères dans leur beautés, et si rare...
Sans aucun doute, à suivre.
15 mai 2009
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Ame
29 juin 2008 - Et si nous perdions notre âme ?
J'aurai aimé...
J'aurai aimé une victoire en finale enfin ...
J'aurai aimé rire...
J'aurai aimé chanter...
J'aurai aimé dire... ça y est !
J'aurai aimé rire, chanter, boire et rire et chanter et ...
J'aurai aimé embrasser...
J'aurai aimé voir le bouclier place de jaude...
J'aurai aimé voir une ville, une région faire la fête en disant enfin...
J'aurai aimé ...
J'aurai aimé, oui, penser, ça y est, c'est possible...
J'aurai aimé voir mes fils heureux...
J'aurai aimé...
Et il me reste la tristesse...
Le sentiment que ce club, cette ville, ne peuvent décidément pas gagner...
Ce matin j'ai la gueule de bois et j'ai pas bu...
La tristesse du looser romantique...
J'ai mal à mon âme...
J'aurai aimé...
J'aurai aimé une victoire en finale enfin ...
J'aurai aimé rire...
J'aurai aimé chanter...
J'aurai aimé dire... ça y est !
J'aurai aimé rire, chanter, boire et rire et chanter et ...
J'aurai aimé embrasser...
J'aurai aimé voir le bouclier place de jaude...
J'aurai aimé voir une ville, une région faire la fête en disant enfin...
J'aurai aimé ...
J'aurai aimé, oui, penser, ça y est, c'est possible...
J'aurai aimé voir mes fils heureux...
J'aurai aimé...
Et il me reste la tristesse...
Le sentiment que ce club, cette ville, ne peuvent décidément pas gagner...
Ce matin j'ai la gueule de bois et j'ai pas bu...
La tristesse du looser romantique...
J'ai mal à mon âme...
24 avril 2009
Aveugle et sourd...
Puisque parait-il je suis un incorrigible sentimental et grand amateur de chansons d'amour, en voilà une qui me touche particulièrement !
Aveugle et sourd dans Bad cowboy – Axel Bauer – 2006
J’étais aveugle et sourd
Au cœur de notre amour
J’étais toujours ailleurs
Puéril en la demeure
J’étais sans concessions
Bien sûr que j’étais con
Je ne voyais que des murs
J’avais perdu le sens de l’horizon
Je suis parti faire un tour
Je suis parti par amour
Mais le monde est sans lueur
Tu ne l’éclaires plus de l’intérieur
J’ai voulu que ça vibre
Mes prisons étaient libres
Mes mouvements solitaires
Et doux était l’air
Mais le mal était toujours là
Prenant la forme de tes bras
Une seule chose aurait pu me guérir
Revenir
Au plus loin que je sois
Je garde ici au fond des jours
Un peu de toi
Un peu d’amour
Et à chacun de mes pas
Je vois comme des milliers de toi
Coupé de moi
Sans ton amour
J’étais aveugle et sourd
Criant que la liberté
Je l’ai perdue en te quittant
Sous la canicule de l’été
Buvant jusqu’à la lie
Des poignards aiguisés
Et la ciguë des esprits
Que le remords a condamné
Et le mal était toujours là
Prenant la forme de tes bras
Une seule chose aurait pu me guérir
Revenir
Aveugle et sourd dans Bad cowboy – Axel Bauer – 2006
J’étais aveugle et sourd
Au cœur de notre amour
J’étais toujours ailleurs
Puéril en la demeure
J’étais sans concessions
Bien sûr que j’étais con
Je ne voyais que des murs
J’avais perdu le sens de l’horizon
Je suis parti faire un tour
Je suis parti par amour
Mais le monde est sans lueur
Tu ne l’éclaires plus de l’intérieur
J’ai voulu que ça vibre
Mes prisons étaient libres
Mes mouvements solitaires
Et doux était l’air
Mais le mal était toujours là
Prenant la forme de tes bras
Une seule chose aurait pu me guérir
Revenir
Au plus loin que je sois
Je garde ici au fond des jours
Un peu de toi
Un peu d’amour
Et à chacun de mes pas
Je vois comme des milliers de toi
Coupé de moi
Sans ton amour
J’étais aveugle et sourd
Criant que la liberté
Je l’ai perdue en te quittant
Sous la canicule de l’été
Buvant jusqu’à la lie
Des poignards aiguisés
Et la ciguë des esprits
Que le remords a condamné
Et le mal était toujours là
Prenant la forme de tes bras
Une seule chose aurait pu me guérir
Revenir
Magnificent
Magnificent in No ligne on the horizon – U2 - 2009
Magnificent
I was born
I was born to be with you
In this space and time
After that and ever after I haven’t had a clue
Only to break rhyme
This foolishness can leave a heart black and blue
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love can heal such a scar
I was born
I was born to sing for you
I didn’t have a choice but to lift you up
And sing whatever song you wanted me to
I give you back my voice
From the womb my first cry, it was a joyful noise…
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love can heal such a scar
Justified till we die, you and I will magnify
The Magnificent
Magnificent
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love unites our hearts
Justified till we die, you and I will magnify
The Magnificent
Magnificent
Magnificent
Magnificent
I was born
I was born to be with you
In this space and time
After that and ever after I haven’t had a clue
Only to break rhyme
This foolishness can leave a heart black and blue
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love can heal such a scar
I was born
I was born to sing for you
I didn’t have a choice but to lift you up
And sing whatever song you wanted me to
I give you back my voice
From the womb my first cry, it was a joyful noise…
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love can heal such a scar
Justified till we die, you and I will magnify
The Magnificent
Magnificent
Only love, only love can leave such a mark
But only love, only love unites our hearts
Justified till we die, you and I will magnify
The Magnificent
Magnificent
Magnificent
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