J'ai déjà écrit quelque part (ou bien l'ai-je simplement dit ?) que TOUT était dans cet album d'Etienne DAHO, Corps et Armes, au moins en ce qui concerne les relations amoureuses, alors ce n'est que l'opus I.
A lire, à écouter, à méditer.
De plus, de saison !
Ouverture dans Corps et Armes - Etienne DAHO - 2000
Il n'est pas de hasard,
Il est des rendez-vous,
Pas de coïncidence,
Allez vers son destin,
L'amour au creux des mains,
La démarche paisible,
Porter au fond de soi,
L'intuition qui flamboie,
L'aventure belle et pure,
Celle qui nous révèle ,
Superbes et enfantins,
Au plus profond de l'âme.
Portée par l'allégresse,
Et la douceur de vivre,
De l'été qui commence,
La rumeur de Paris,
Comme une symphonie,
Comme la mer qui balance.
J'arrive au rendez-vous,
Dans l'épaisse fumée,
Le monde me bouscule,
Réfugié dans un coin,
Et observant de loin,
La foule qui ondule,
Mais le choc imminent,
Sublime et aveuglant,
Sans prévenir arrive.
Je m'avance et je vois,
Que tu viens comme moi,
D'une planète invisible,
Où la pudeur du cœur,
impose le respect,
La confiance sereine
Et plus tu t'ouvres à moi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement je m'ouvre,
Et plus je m'ouvre à toi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement tu t'ouvres.
il fut long le chemin,
Et les pièges nombreux,
Avant que l'on se trouve,
Il fut long le chemin,
Les mirages nombreux,
Avant que l'on se trouve.
Ce n'est pas le hasard,
C'est notre rendez-vous,
Pas une coïncidence.
26 juin 2009
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